In Fort Morgan CO for #PhilipKDick conference. Mementos left on PKD & twin Jane's gravestone. Pink beam vigil tomorrow night for closing. pic.twitter.com/hQj4huw5Wm
— Radio Free Albemuth (@rfamovie) March 3, 2017
Le site betweenthecovers vend un lot de 119 négatifs de photos prises par Arthur Knight… pour 12000$.
Parmi celles d’Aldous Huxley, Henry Miller ou encore Ray Bradbury se trouvent deux photos d’un jeune Philip K. Dick.
L’une de ces photos a servi en quatrième de couverture de l’édition originale du Maître du Haut-Château, l’autre est, à ma connaissance, inédite.
(Merci à Jean-Daniel pour la trouvaille)
Les éditions actuSF offrent pour l’achat de deux livres un recueil de nouvelles de Léo Henry.
Vous avez vu la couverture, vous savez que vous en avez envie, vous savez ce qu’il vous reste à faire.
La page de l’opération.
Annonce d’une nouvelle anthologie de onze nouvelles, en poche, à paraître l’année prochaine. Le sommaire n’est pas encore connu.
Aujourd’hui est le trentième anniversaire du décès de Philip K. Dick.
Alors je vous propose de commencer un grand combat, de prendre part à une noble cause, de faire enfin quelque chose de nos vies !
Et pour tout soit clair, je vais l’écrire en grand.
Son nom peut être :
Philip K. Dick
Philip Dick
Phil Dick
Phil
Il n’a jamais été appelé par cet infâme K. Dick qui n’a strictement aucun sens et qui pourtant ne cesse de revenir en France.
Philip Kindred Dick et sa sœur jumelle Jane Charlotte ont tous les deux deux prénoms. Kindred est le nom de jeune fille de la mère de Dick, Dorothy Kindred. Voilà l’origine de ce K qui devient aujourd’hui dans la bouche de certains un nom composé.
(Merci à Philippe pour la découverte)
Pour Philip Dick, la science-fiction n’est pas seulement une speculative fiction, elle met en cause un présent différent.
Merci à Sylvain pour la trouvaille !
DICK: God designed a really fucked-up universe as far as I can make out. I have this friend who had his cat and he was walking the cat and the cat tried to cross the street and a car came along and did in the cat … turned it into a fur pizza. This friend of mine has managed to destroy my whole theological edifice with this argument about his cat.
JETER: A dead cat is the ultimate refutation of any religious system. It was my cat.
« Je me sens très différent de Philip K. Dick car ses problèmes avec la réalité sont liés avec la drogue. Tandis que moi, cela a plus à voir avec la psychologie, les croyances, etc.” Malgré cette différence de taille, Les deux auteurs rendent floues les frontières entre science-fiction et fantastique : “Je suis plus intéressé par l’imaginaire et le fantastique. En Grande Bretagne et aux USA, c’est plus facile à publier que la science-fiction. La science-fiction permet de regarder comment vont se passer les choses à partir de données scientifiques. En fantastique, il n’y a pas de règles, tout peut arriver.” À la lecture de Futur intérieur, il est tentant de faire un parallèle avec les réalités virtuelles que proposent Internet et les jeux vidéos. Seulement, en 1977, Internet n’existait pas encore. “J’ai piqué l’idée à minitel”, explique-t-il avec un sourire. “Quand j’ai écrit ce livre, je pensais surtout aux enfants qui s’inventent des jeux. Les enfants savent que leur jeu n’est pas la réalité. Les adultes font la même chose tout en essayant d’y trouver quelque chose d’utile. »
I am by profession, a science fiction writer. I deal in fantasies. My life is a fantasy. (VALIS)
Philip K. Dick created almost a legend for himself of his disreputability: he built a palace of disreputability and moved inside it. At a certain level, I think he said 'You can't fire me -- I quit.' Even some of his most ambitious later books seem to be almost deliberately scarred by the inclusion of gestures, jokes, references that make them aliterary intentionally, as though he's saying 'Fuck you.' Or 'I don't have a passport into that world, but I'm free to do anything I want.'
A book as fundamentally literary as Flow My Tears, the Policeman Said -- very lyrical, very beautiful -- has moments where the surface breaks down into smutty jokes. In Ubik, somebody calls someone else a 'hobbit,' and it's this moment of self-loathing in-jokery that completely throws you out of the page, especially if you're trying to read him in a very literary context. And I think those moments of breakdown in the surface of his work are quite striking.
(source)Question : La folie est un thème central de vos livres. Vous avez écrit un essai Je suis vivant et vous êtes morts (Le Seuil, 1983) sur l’auteur américain de science-fiction Philip K. Dick qui souffrait de schizophrénie et de paranoïa…
Philip K. Dick était à la fois le malade et l’expert de sa propre maladie. Une posture qui rend son personnage fascinant. Cela et le caractère visionnaire de son œuvre. La grille de lecture qu’il a posée sur le réél est à mon avis toujours totalement opératoire. J’ai l’impression qu’on vit de plus en plus dans le monde de Philip K. Dick. C’est aussi quelqu’un qui a incarné l’esprit des années 60-70 en Californie avec tous les trips de l’époque, la drogue, les hippies. Cela prend, dans ses romans d’anticipation, une forme extraordinairement convaincante. (ndlr, parmi les films adaptés des livres de Philip K. Dick : Blade Runner de Ridley Scott et Minority Report de Steven Spielberg.)
Ses expériences avec le L.S.D. et autre hallucinogènes, sans parler de stimulants du genre amphétamines, ont porté des fruits comme la nouvelle que vous allez lire une « vision dangereuse » parfaite.
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