Comment raconter cette journée ? Elle fut splendide, chaotique, riche, en un mot parfaite. Et pourtant tout avait mal commencé, les gérants de la salle nous ayant oublié, nous avons dû attendre une petite heure avant de décider, sur l’impulsion joyeuse de Pacôme Thiellement de commencer maintenant, là, assis par terre.
Philippe Hupp et Dominique Douay ont alors commencé à nous raconter le festival de Metz, alternant entre les souvenirs, les anecdotes et le portrait d’un Philip K. Dick, arrivant en France presque sans aucun bagage, mais bien décidé à faire une sacrée conférence…
Le texte de la pancarte dit « Angels never die » ce qui était parfaitement approprié !
Philip K. Dick, un moderne
La clé arrivée, nous avons enfin pu prendre possession des locaux. Thomas Cazals, Ariel Kyrou et Pacôme Thiellement ont alors débattu. Je me suis contenté d’aiguiller la conversation, je savais qu’ils n’avaient pas besoin de moi pour dire des choses intelligentes.
Thibaud Eliroff, directeur de la collection Nouveaux Millénaires chez J’ai lu, est venu raconter cette aventure éditoriale un peu dingue : rééditer la quasi intégrale de Philip K. Dick dans des traductions révisées.
L’auteur de Traum et David Fisher nous ont livré un collage assez audacieux entre les écrits de Dick et Traum. Le tout m’avait séduit et je suis curieux d’écouter de nouveau leur prestation.
Laurent Queyssi et moi-même parlons de la dernière période de Dick. À cause du retard, il nous a fallu couper dans nos textes respectifs. J’espère que cela ne s’est pas trop vu. Bah. On peut appeler cela le syndrome de Metz...
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