— Personne ne peut gagner contre la bistouille, expliqua-t-il. Ou alors, provisoirement. Dans un endroit donné. Comme chez moi, par exemple, j'ai réussi à créer une espèce de stase, d'arrêt des hostilités entre bistouille et non-bistouille. Mais je finirai par mourir, ou je m'en irai, et la bistouille vaincra. C'est un principe universel, à l'œuvre dans l'univers tout entier. L'univers entier, irréversiblement, se dégrade progressivement jusqu'à la bistouille finale. N'y échappera, bien sûr, que l'ascension de Wilbur Mercer.
La fille lui jeta un coup d'oeil.
— Je ne vois pas le rapport.
— Mais enfin, c'est toute l'idée du mercerisme ! (Il était plus perplexe que jamais). Vous n'avez jamais participé à la fusion ? Vous n'avez pas de boite à empathie ?
À commander directement chez l’éditeur, Kultur, ou encore Amazon.com ou chercher
sur eBay. (attention je vous rappelle qu’il s’agit d’un DVD zone 1 uniquement, non sous-titré).
Sur le même sujet lire :
Ses expériences avec le L.S.D. et autre hallucinogènes, sans parler de stimulants du genre amphétamines, ont porté des fruits comme la nouvelle que vous allez lire une « vision dangereuse » parfaite.
Un homme fait accidentellement un voyage dans le temps et se retrouve confronté à lui-même une heure auparavant. En cherchant à tout prix à réparer cette erreur et à revenir au présent, il va déclencher sans le vouloir une série de désastres irréparables...
Timothy Sexton, le scénariste des Fils de l'homme travaille sur le remake U.S., David Cronenberg est pressenti pour le réaliser.
Voir le site officiel, IMDB, le résumé provient de Allociné.
Tout d'abord, John Glenn et moi-même avons été payés pour étudier les possibilités d'une suite et nous avons rédigé plusieurs pistes pour un Blade Runner 2, avec l'aide de Bud Yorkin. Mais nous ne sommes jamais passés à l'étape du scénario et il n'était pas prévu que cela devienne une affaire d'État. Travailler sur Blade Runner n'est pas une lubie, j'ai un contrat pour le prouver. Et comme John et moi avons été payés pour rédiger un scénario, je vais le faire en solo, avec ou sans la bénédiction de qui que ce soit. Que quelqu'un le lise ou s'en préoccupe, nous verrons bien.
PHILIP K. DICK’S OWL: Things Are Not As They Appear - The Owl in Daylight is Blind, As Philip K. Dick would have written it
(Source) (le site de image-metrics)
(Merci à Laurent)
(merci à Raphaël)
Avec ce roman planétaire et foisonnant qui débute par l’Exposition universelle de Chicago, en 1893, pour s’achever au lendemain de la Première Guerre mondiale, à Paris, Pynchon réussit son œuvre la plus ambitieuse et la plus émouvante. S’attachant à dépeindre aussi bien les luttes anarchistes dans l’Ouest américain que la Venise du tournant du siècle, les enjeux ferroviaires d’une Europe sur le point de basculer dans un conflit généralisé, les mystères de l’Orient mythique ou les frasques de la révolution mexicaine, l’auteur déploie une galerie de personnages de roman-feuilleton en perpétuelle expansion – jeunes aéronautes, espions fourbes, savants fous, prestidigitateurs, amateurs de drogue, etc. –, tous embringués dans des mésaventures dignes des Marx Brothers.Empruntant avec jubilation à tous les genres – fantastique, espionnage, aventure, western, gaudriole –, rythmé par des incursions dans des temps et des mondes parallèles, écrit dans une langue tour à tour drolatique et poignante, savante et gourmande, Contre-jour s’impose comme une épopée toute tendue vers la grâce.
Si je comprends et partage en partie, par nostalgie, ce qu’il écrit sur la version de 1982, je ne comprends pas du tout ce qu’il entend dans sa deuxième phrase.J’ai revu le coffret de Blade Runner. La meilleure version est sans aucun doute la version des producteurs de 1982 avec la voix off qui explique tout. La version réalisateur cut est beaucoup moins philosophique.
I have studied Goethe's Faust and Dante's Divine Comedy, and Phil explained to me in detail how they relate to the theme of his novel. It is simply a matter of sitting down and typing it, if anybody asks me to do so.
« Your Name Here » tries to turn the tragedies of Phillip K. Dick’s life into a bizarre “Pee Wee’s Big Adventure” meets “Memento” freak show. It’s not an awe-inspiring celebration of his art like “Ed Wood,” “The People vs. Larry Flynt” or “Man on the Moon.” It’s laughing at him, not with him, and comes off twisted and pretty damn sick if you ask me.
(source)
Sur le même sujet, lire :
Sur le même sujet lire :
The early plans include two movies, a major animation and two games based on Dick's work.
(source)
Our dad very much wanted this novel to be reimagined in this way and we are happy to be partnering with Celluloid Dreams, whose overall vision and appreciation of the material is consistent with our own.
(source)
(source)
Mise à jour : Voilà ce que dit thedigitalbits.com :
New Line (via Warner) is releasing a Dark City: Director's Cut on DVD and Blu-ray Disc on 7/29 (SRP $19.97 and $34.99). According to the studio's press information, both discs will feature "enhanced picture and sound, never-before-seen footage and three commentary tracks that take you deeper than ever before into the world of one of sci-fis most exciting and revered tales." The Blu-ray will be a BD-50 disc, but we don't know what the audio format will be yet. Director Alex Proyas' new cut of the film runs 111 minutes (the original version was 96 minutes).
Comme vous le remarquez, le format est à l'italienne (c'est-à-dire plus large que haut). Le découpage reprend le film, les images étant seulement un peu moins contrastées. Comme l'unité devient la case et non plus le cadre, Laura et Gary Dumm, jouent avec la mise en page pour restituer le rythme de la narration. Le tout fonctionne sans jamais décevoir.
Au final, le livre constitue un ajout agréable au film.
En France on peut le trouver chez Amazon (A Scanner Darkly) ou encore Alapage et
.
Faisons un petit point rapide sur les prochaines adaptations cinématographiques et autres films dickiens. Cliquez sur les titres pour ouvrir les pages qui leur sont consacrées.
Je ne vous fais pas l'injure de donner la référence."What's the matter, Sam?" Al said. He felt himself tense up inwardly; he foresaw another happening.
"Isn't Walt Disney's head supposed to be on the fifty-cent piece?" Sammy said.
"Either Disney's," Al said, "or if it's an older one, then Fidel Castro's. Let's see it."
"Another obsolete coin," Pat Conley said, as Sammy carried the fifty-cent piece to Al."
(Image Flow my Tears - Renaud Bézy - Courtesy Olivier Houg Galerie)
The greatest science fiction writer in American literary history, William J. Frick (Bill Pullman), is on the verge of an epiphany. Having had a close encounter with God the Almighty in an Anaheim taco stand, Bill is about to finish his masterwork...the epic opus that will detail the relationship between God and Man.Meanwhile, a rather shrill ex-girlfriend (Traci Lords) is clamoring for financial help with their love child; the IRS is clamoring for back pay; and Bill's houseful of speed-freaky bikers, weed-smokers, chocoholics and teenage sci-fi geeks is getting on his nerves.Just as Bill is about to put the finishing touches on his Book of Books, he inhales a strange-colored substance...kinda looks like a cross between coke and purple chalk. And instead of finishing the Book, Bill flips over backwards...and falls down a rabbit hole....into a place where the love-object of his life, up-and-coming movie starlet Nikki (Taryn Manning) is ready and waiting...prepared to turn Bill's philosophy into Action...violently, if necessary!......a place where a sinister emissary of the Nixon White House (M. Emmet Walsh) is willing to apply "aggressive interrogative manoeuvres" upon Bill's flesh to find out what Bill knows about the inner workings of the corridors of power......a place where reality can turn on its head, and Bill can go from Messiah of Fifty States to anonymous shlub in a concentration camp in the literal blink of an eye.In YOUR NAME HERE, sex, drugs, politics, religion, sci-fi, and the tropes of extremely cheesy low-budget genre movies are put in a blender, with generous helpings of psilocybin, No-Doz, and garlic powder added to boost flavor. Chill and stir as needed.
Enfin, la série « Covers » est constituée de petits tableaux paillettés reprenant des couvertures d'ouvrages de science-fiction de Philip K. Dick. L'intérêt de Bézy se porte là sur le décalage entre l'envergure réelle de l'oeuvre de Dick et la modestie, voire l'indigence du contexte dans lequel il a voulu s'inscrire : la science-fiction dans les années 1960/70. Dans cette série, les images sont à la fois altérées et conservées dans un procédé d'épuration formelle qui, paradoxalement, les magnifie.